Après deux printemps apicoles médiocres, un ciel
photogénique de fin mars 2014 sur les champs de colza précoces constitue une
expérience inquiétante.
Plus
de peur que de mal, mais nous gardons en mémoire la grêle du 17 juin 2013 qui
dévastant l’ensemble de la végétation autour du rucher nous obligea dans
l’urgence à entreprendre une transhumance pour nos protégées, réfugiées climatiques.
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