Les abeilles sont à l’étroit dans le corps de la ruche et ne peuvent plus stocker le miel et le pollen. Ces hausses qui permettront peut-être enfin d’obtenir après deux années difficiles le miel de printemps, ont été nettoyées par nos soins pendant le période hivernale. Si la météo le permet, les abeilles y stockeront les nectars du colza, des pissenlits, aubépines, merisiers, fruitiers des jardins et viburnum des haies mellifères.
Les activités en Touraine au rucher de la Rillonnière avec Nathalie Guimberteau
mercredi 2 avril 2014
Enfin le printemps !
Printemps
2014, une partie de nos réfugiées climatiques au Clos après la grêle
dévastatrice de juin 2013.
Prometteur (ou pas…), les hausses sont posées dès le 31
mars. Toutes les colonies dans les ruchers ont survécu à l’hiver doux et
disposent de 7 à 8 cadres et demi de
couvain qui donnera les futures
ouvrières : les colonies sont très fortes, autant qu’en milieu de saison
estivale quand les colonies sont le plus développées !
Les abeilles sont à l’étroit dans le corps de la ruche et ne peuvent plus stocker le miel et le pollen. Ces hausses qui permettront peut-être enfin d’obtenir après deux années difficiles le miel de printemps, ont été nettoyées par nos soins pendant le période hivernale. Si la météo le permet, les abeilles y stockeront les nectars du colza, des pissenlits, aubépines, merisiers, fruitiers des jardins et viburnum des haies mellifères.
Les abeilles sont à l’étroit dans le corps de la ruche et ne peuvent plus stocker le miel et le pollen. Ces hausses qui permettront peut-être enfin d’obtenir après deux années difficiles le miel de printemps, ont été nettoyées par nos soins pendant le période hivernale. Si la météo le permet, les abeilles y stockeront les nectars du colza, des pissenlits, aubépines, merisiers, fruitiers des jardins et viburnum des haies mellifères.
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