Plus tôt dans la saison...
Toujours magique le printemps
.
Toujours incertain également quant il faut planifier les
visites de printemps au rucher : attendre la bonne température pour
pouvoir inspecter le couvain à la sortie de l’hiver sans le refroidir, changer
les cadres de rive avec des cires neuves avant qu’ils ne soient remplis par le nouveau
miel de printemps ou par le nouveau couvain.
Cette année ce sera fin mars pour trouver des colonies sur 8
à 9 cadres de couvain, déjà pour la plupart avec de l’élevage de
mâle et des champs de colza en floraison qui attendent les hausses.
Encore une fois nos colonies nous montrent à quel point
elles sont moins frileuses que nous.
Pas de mortalité hivernale (avec nos remerciements au traitement,
chimique, anti-varoa destructor), mais
cependant de mauvaises surprises avec trois colonies dynamiques mais suspectes
sur trois ruchers différents qui devront en partie être relocalisées sur notre « rucher
hôpital ». Avant que les mâles ne sortent et que la dérive ne s’installe
dans les ruchers pendant les miellées, l’apiculteur, quelque soit la taille de
son rucher, doit prendre ses responsabilités, vis-à-vis de ses autres ruches et
surtout de ses collègues.
Jeux de gants lavables, eau de javel et plusieurs lève- cadre disponibles. Cette colonie va partir en observation sur le rucher hôpital.
Le printemps humide génère un début de moisissure sur les cadres périphériques
Une fois congelés, puis remis en service ils feront des cadres de rives acceptables, avec des réserves, pour enrucher les essaims précoces élevés sur cires neuves.
Paré pour la saison
La visite de printemps nous apporte une quantité de signaux que nous apprenons à déchiffrer, année après année.
Les abeilles chez Jeanne sont toujours chouchoutées et nous le rendent bien, par leur douceur et l'absence d'agressivité.
Tu fais ta visite de printemps si tu veux, mais nous on te fais les poches !
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